Vous envisagez d’offrir à votre fiancé une bague en diamant ? Découvrez ici ce que vous devriez savoir sur cette pierre pour choisir la bonne bague et pour éviter de vous faire avoir. Sachez qu’avant d’acheter une bague en diamant il est essentiel de tenir compte de plusieurs critères comme la pureté, la couleur, la taille et le certificat qui garantit la qualité de la pierre.

Les questions à poser au vendeur lors de l’achat d’un solitaire

Il faut savoir que l’univers du diamant est très codé, et qu’il est nécessaire d’être un professionnel pour comprendre le langage. En effet, chaque pierre est évaluée selon ses caractéristiques techniques. Par exemple, quand le carat est plus de 0.4, le diamant est toujours vendu avec un certificat qui présente ses caractéristiques telles que le poids, la couleur, la qualité et les autres spécificités. Avant d’acheter une bague en diamant, vous pouvez réclamer un certificat et l’examiner. Ces certificats sont en principes fournis automatiquement par le vendeur, et par les sites internet sérieux comme subtil-diamant.com.
Pour la couleur, elle est toujours classée de D à Z. La meilleure couleur de diamant est la classe D, qui désigne la plus blanche. Le Z est la plus mauvaise couleur, qui est quasi opaque. Le H est en général la qualité la plus commune. Concernant la pureté, elle est indiquée par le code IF. Ceci veut dire qu’il n’y a aucune inclusion visible même à la loupe. En revanche, le code I3 désigne un diamant imparfait qui comprend des inclusions visibles à l’œil nu. Le code SI désigne la qualité la plus connue et vue commercialement. Ces détails sont tous très importants lors de l’achat d’un diamant; comme le rappelle le blog du luxe et de la mode luxebytrendy.com. Vous pouvez alors faire la différence entre une pierre parfaite et un diamant de qualité standard.

Le processus de Kimberley

Lors de l’achat d’un diamant, il est important de s’assurer qu’il est propre, donc vous devez aussi demander au vendeur s’il est conforme au processus de Kimberley. Ce processus est un genre d’assurance internationale instauré par les autorités du diamant vers les années 2000 pour éviter la vente de pierres illégale. À l’heure actuelle, la plupart des firmes qui commercialisent les diamants sont couvertes par le processus de Kimberley.